1
ener l’amant à mériter le don. Au contraire, pour
Jean de Meung
, qui terminera le Roman, la Rose n’est plus que la volupté physique.
2
es du xviie , jusqu’à la Nouvelle Héloïse… Et par
Jean de Meung
la tradition antique, — celle qui condamne la passion comme une « mal
3
la rose de Guillaume de Lorris répond la rose de
Jean de Meung
, comme à la rhétorique cristalline de Pétrarque s’oppose la fantasmag
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ener l’amant à mériter le don. Au contraire, pour
Jean de Meung
, qui terminera le Roman, la Rose n’est plus que la volupté physique.
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es du xviie , jusqu’à la Nouvelle Héloïse… Et par
Jean de Meung
, la tradition antique — celle qui condamne la passion comme une « mal
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la rose de Guillaume de Lorris répond la rose de
Jean de Meung
, comme à la rhétorique cristalline de Pétrarque s’oppose la fantasmag
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ener l’amant à mériter le don. Au contraire, pour
Jean de Meung
, qui terminera le Roman, la Rose n’est plus que la volupté physique.
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es du xviie , jusqu’à la Nouvelle Héloïse… Et par
Jean de Meung
, la tradition antique — celle qui condamne la passion comme une « mal
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la rose de Guillaume de Lorris répond la rose de
Jean de Meung
, comme à la rhétorique cristalline de Pétrarque s’oppose la fantasmag